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Personne :
Têtu, Pierre-Louis

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Têtu

Prénom

Pierre-Louis

Affiliation

Université Laval. Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique

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ncf11889386

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 10 sur 22
  • PublicationRestreint
    ‘Sovereignty’ over submerged cultural heritage in the Canadian Arctic waters : case study from the Franklin expedition wrecks (1845-48)
    (Taylor & Francis group, 2019-02-10) Lasserre, Frédéric; Pelletier, Sébastien; Têtu, Pierre-Louis; Dawson, Jackie
    Transiting the Northwest Passage captured the imaginations of explorers and adventures for centuries. The idea of a shorter and more economical trade route through the frozen North resulted in hundreds of state and privately financed expeditions to the Canadian Arctic. Perhaps the most famous of the expeditions was the British-led Franklin voyage including the HMS Erebus and HMS Terror, which in April 1848 became stuck in ice and were abandoned in the Victoria Strait. Dozens of expeditions were subsequently commissioned to find the ships, but they would not be seen again until more than 150 years later when their wrecks were found on the sea floor of the Canadian Arctic. Despite the recent transfer of ownership of Franklin’s shipwrecks by the British to the Canadian Government, this case study illustrates the complexity of the identification of ownership over shipwrecks. Based on a literature review of international legal frameworks regarding submerged cultural heritage, claims and statements of various perspectives are documented. In a context of increasing marine tourism activity, in particular pleasure craft traffic, in the Canadian Arctic, efforts must be made to ensure nothing ends up in the hands of looters and private collectors who trade them on the black market.
  • PublicationAccès libre
    The evolution and relative competitiveness of global Arctic cruise tourism destinations
    (Routledge, 2019-09-11) Lasserre, Frédéric; Dawson, Jackie; Têtu, Pierre-Louis
  • PublicationAccès libre
    Transportation in the melting Artic : contrasting views of shipping and railway development
    (Institut EDS, 2020-06-01) Lasserre, Frédéric; Têtu, Pierre-Louis
    Expansion of Arctic transportation projects (services and infrastructure) stem from the fact the Arctic has become integrated in the global economy. It is globalization that drives natural resources exploitation. It is the globalization of Chinese and Russian economic ambitions that supports the construction of expensive overland projects. It is globalization, and not necessarily conditions in the Arctic, that has shipping companies questioning the profitability of Arctic shipping. There are different actors, including transport companies and states, involved in these developments in Arctic sea traffic, and they pursue different types of strategies that unfold in parallel in the Arctic. This paper examines the following questions: • What are the strategies that explain the changing trends in / Arctic sea traffic? • What can account for the direction of Arctic sea traffic development? • What drives the new surge in railway projects, especially in Eurasia? This investigation demonstrates the value of an environmental geopolitics approach because it considers how different actors perceive and pursue political and economic gain through strategic interaction with the physical environment. Additionally, this chapter recognizes that processes at multiple, simultaneous spatial scales may be usefully examined together to create a more complete understanding of a given phenomenon such as Arctic sea traffic. That is, to understand changes in Arctic sea traffic, it is important to look beyond the Arctic and beyond sea traffic as well. In the next section of the chapter, we provide background on recent trends of climate change in the Arctic. Then we will examine the evolution of maritime traffic, especially the significant growth of destinational traffic. We will later examine the renewed expansion of rail construction, especially in Russia and northern Scandinavia. The growth of both railway construction and marine traffic is then analysed in light of the globalisation of the Arctic.
  • PublicationAccès libre
    Stratégies des entreprises chinoises dans le secteur extractif dans l'Arctique
    (2016) Têtu, Pierre-Louis; Lasserre, Frédéric
    Poussée par une croissance économique rapide ces trente dernières années, la demande chinoise en matières premières a considérablement augmenté au cours de cette période. Premier importateur mondial de nombreux minerais depuis le début du XXIe siècle, la Chine, qui n’est pas un État côtier de l’Arctique, semble attentive au potentiel économique de la région, et notamment en ce qui a trait à l’exploitation des gisements miniers. Avec l’ouverture relative des accès maritimes à travers les passages arctiques, les entreprises chinoises seraient en mesure d’effectuer des économies sur les coûts de transport et pourraient plus aisément accéder aux gisements miniers du Groenland et de l’Arctique canadien. La montée en puissance de l’économie chinoise, qui s’est concrétisée depuis le début du siècle, son affirmation politique sur la scène mondiale, et sa diplomatie des ressources perçue comme agressive a contribué à développer une perception négative de la Chine au sein des opinions publiques canadiennes, danoises, groenlandaises, et islandaises. Dans un contexte de débats et d’inquiétudes sur les questions de souveraineté dans l’Arctique, les presses canadiennes, groenlandaises et danoises ont contribué à construire, dans leurs opinions publiques respectives ces dernières années, une certaine sinophobie face aux investissements directs à l’étranger chinois, qui débutent réellement en 2005. Par exemple, un sondage mené en 2015 par l’Asia Pacific Foundation of Canada faisait ressortir que près de 76% de la population canadienne était hostile à l’acquisition d’entreprises canadiennes par des entreprises chinoises, tous secteurs confondus. Au Groenland, la perspective d’opérations minières dirigées par des entreprises chinoises a provoqué l’ire des médias danois et groenlandais. Alors que certains dénoncent une stratégie géopolitique chinoise plus large dans cette région du monde, d’autres mettent l’accent sur les implications de la venue de nombreux travailleurs chinois, de même que sur les questions d’une Chine cherchant à assurer un accès à long terme aux ressources de la région, prétextant que le Groenland serait une région d’investissement majeur pour les entreprises chinoises. La Chine, par l’entremise de ses entreprises, chercherait-elle à faire main basse sur les ressources minières de l’Arctique ? L’Arctique canadien, le Groenland et le Grand Nord québécois sont-ils des territoires d’investissements majeurs pour les entreprises chinoises ? Comment les facteurs qui déterminent les choix des entreprises chinoises se sont-ils traduits dans l’Arctique ? Dans le cadre de cette recherche, trente-six entreprises et organes du gouvernement ont été consultés. Les résultats de l’enquête soulignent que ces territoires ne sont pas des régions où les entreprises chinoises investissent d’importantes sommes, mais demeurent attractifs en raison de la stabilité politique et du climat compétitif des affaires qui y règnent, ainsi que pour la qualité des ressources physiques qu’on y retrouve. Cependant, les acteurs chinois soulignent d’importants défis tels que le déficit en matière d’infrastructures maritimes et de communication dans l’Arctique, le manque d’informations sur les opportunités d’affaires, c’est le cas des projets disponibles au Groenland notamment, et les acteurs chinois soulignent également leur manque d’expérience à l’international, de même que le coût et la disponibilité de la main-d’oeuvre comme des défis importants pour les entreprises chinoises. En somme, les investissements des entreprises chinoises dans des projets miniers dans l’Arctique canadien et au Groenland s’insèrent, certes, dans les stratégies globales des entreprises chinoises qui visent à diversifier et sécuriser leurs sources d’approvisionnements. En revanche, s’il apparaît que les territoires arctiques ne sont pas des régions d’investissements majeurs pour les entreprises chinoises dans le secteur extractif, les acteurs chinois sondés raisonnent, de manière générale, selon une logique de marché et recherchent donc, pour la plupart, à assurer la rentabilité de leur entreprise par la réalisation de gains. Outre les fluctuations des prix des matières premières sur les marchés mondiaux qui affectent grandement les opérations minières globales, de nombreux facteurs dans l’Arctique tels que l’éloignement, les conditions météorologiques extrêmes, et le manque d’infrastructures augmentent considérablement le coût de faire des affaires dans le secteur minier dans l’Arctique, qui demeure un marché niche.
  • PublicationAccès libre
    Géopolitique des ressources naturelles : les clivages de la société canadienne face aux projets d’oléoducs
    (Diploweb.com, 2020-04-05) Lasserre, Frédéric; Roudier, Lucie; Têtu, Pierre-Louis
    Voici une belle leçon de méthode géopolitique, notamment pour les concepts de représentations et d’acteurs. Richement illustrée de trois cartes et d’un schéma d’acteurs, l’étude porte sur l’émergence de la notion de consentement dans les projets d’aménagement du territoire. Au Canada, le projet de doublement de l’oléoduc « TransMountain » n’est pas une construction d’une nouvelle ligne, mais il a pourtant suscité de très vifs débats entre la société Kinder Morgan et certains groupes d’Autochtones des Premières Nations, mais aussi entre les deux provinces de l’Alberta et de la Colombie-Britannique. Si l’opposition de certaines Premières Nations a été largement médiatisée, c’est en fait le conflit entre les deux provinces qui a conduit la compagnie à jeter l’éponge en 2018. Racheté par le gouvernement fédéral, le projet a été suspendu par la Cour d’appel fédérale au motif de consultations insuffisantes de certaines Premières Nations. Les opposants au projet ont développé l’argument qu’ils devaient non seulement être dûment consultés mais, plus encore, que leur consentement préalable était obligatoire, ce que le droit canadien ne reconnaît pas. Cette controverse masque aussi la vive division des Premières Nations, puisque nombre de groupes appuient le projet et souhaitent même le racheter, au motif qu’il peut constituer un utile levier de développement économique. L’image d’une opposition résolue et unanime des Autochtones est ainsi fort trompeuse.
  • PublicationAccès libre
    Expansion du tourisme de croisière dans l'Arctique canadien : analyse du discours des opérateurs potentiels et actuels
    (2012) Têtu, Pierre-Louis; Lasserre, Frédéric; Bourdeau, Laurent
    Depuis 1995, les changements climatiques accélèrent la fonte de la banquise arctique et laissent entrevoir la possibilité d’un accroissement de la navigation touristique. Dans ce contexte, les médias et certains chercheurs, étant donné l’engouement récent pour les croisières arctique, se sont faits les porte-parole d’un accroissement spectaculaire dans l’Arctique canadien. Cette recherche, donc, a pour ambition d’analyser les perspectives d’évolution de la navigation touristique dans l’Arctique canadien par le biais des représentations qu’elle engendre à différentes échelles. Il ressort, de cette analyse, des opinions mitigées. D’un côté, les armateurs et affréteurs de navires de croisières n'ont pas le souhait d'accroître leurs activités en raison d’une panoplie d’éléments d’ordre logistique, tout comme les passagers qui désirent préserver le caractère intime des petits navires d’expéditions. De l’autre côté, les communautés locales, aux prises avec de graves problèmes socioéconomiques et avides de revenus supplémentaires, voient d’un bon oeil la venue de nombreux navires.
  • PublicationAccès libre
    A european shipping companies survey on arctic shipping : expectation vs. reality
    (Conseil québécois d'études géopolitiques, 2020-05-01) Fournier, Mélanie; Lasserre, Frédéric; Têtu, Pierre-Louis; Beveridge, Leah
    Operating a vessel in Arctic waters is complicated, costly and risky. Arctic shipping has gained growing attention since the early 2000s as a result of global warming. Although the duration, extent and nature of ice coverage are changing, the annual variability and a significant degree of uncertainty will remain. However, although the feasibility of increasing maritime traffic in the Arctic is tightly related to ice conditions, it is also coupled to governance, geopolitical factors, infrastructure development, prices of resources, and the interest of shipping companies. This paper describes the results of a study conducted from 2015 until 2016 on European shipping companies and their perceptions of Arctic shipping. The purpose of this survey was to take into account the operational point of view of shipping companies, and determine the interest for the Arctic market and whether the current trend was reflected the boom in the industry anticipated in the media.
  • PublicationAccès libre
    Compared transit traffic analysis along the NSR and the NWP.
    (Routledge, Taylor & Francis Group, 2020-01-01) Alexeeva, Olga V.; Meng, Qiang; Lasserre, Frédéric; Zhou, Chuanbei; Têtu, Pierre-Louis
    After two decades of media forecasting a fast expansion of transit traffic, to what extent is it expanding along these two Arctic passages? What picture can be drawn of its unfolding? While all of these questions warrant careful analysis and consideration, this chapter focuses on the present state of commercial transit shipping in the Arctic by distinguishing main trends, similitudes and particularities of the Northwest Passage and the Northern Sea Route. First, we introduce the data source and categorization methods as well as the limits these data sets present. Analyses are carried out from four perspectives: 1) cargo type and volume; 2) transit volumes by transit and cargo types and ship flag; 3) origin and destination of transits; and 4) ships size type.
  • PublicationAccès libre
    The geopolitics of transportation in the melting Arctic
    (Edward Elgar Publishing, 2020-02-03) Lasserre, Frédéric; Têtu, Pierre-Louis
    Climate change is significantly impacting the Arctic region, with the melting of permafrost, glaciers and sea ice. The rapidly receding summer sea ice led to the idea that climate change could trigger an expansion of transit shipping in the Arctic. The reality is more nuanced: if Arctic shipping is indeed developing, it is destinational shipping that is expanding, with the opening up of oil, gas and mining sites thanks to high global-resource prices. This is a shift from the situation in the 1990s when the impact of climate change was not helping commercial shipping. Climate change is thus more a helper, not a driver, for the development of transportation in the Arctic. Additionally, climate change also contributes to the thawing of permafrost, which poses a problem for land transportation. Regardless, Russia, the Scandinavian States and Canada continue to develop railway projects in the Arctic largely in support of resource extraction.
  • PublicationRestreint
    Iron Ore Company (IOC) of Canada versus the Innu : perspective of a dispute from a local lens
    (LexisNexis, 2019-04-29) Lasserre, Frédéric; Têtu, Pierre-Louis; Manirabona, Amissi; Vega Cárdenas, Yenny
    This study investigates conflict resolution mechanisms between the Iron Ore Company of Canada (hereafter "IOC"), an exploration and mining company, and the Innu of Quebec & Labrador, in their fight against land degradation without agreements or compensatory sums. Through a multidisciplinary approach that includes law, social & environmental studies, we will highlight themain problems, challenges and consequences of the conflict resolution mechanisms. Based on the UN Guiding Principles on Business and Human Rights, we will look at how to protect and respectIndigenous people, and remedy their conflicts with the mining industry. More specifically, we will first present and compare various Indigenous land claim agreements, the environmentalregulations and taxation system as they apply to mining projects in Quebec and Newfoundland &Labrador. Next, we will discuss the conflict resolution mechanisms, methods and managementdeveloped by both IOC Canada and the Innu. Finally, we will discuss the fundamental rights of the Innu, through the 2004 Haida Nation v. British Columbia judgment and the “Honour of theCrown,” that was invoked as a central principle in the settlement of Indigenous consultationrequests, even in the absence of a treaty. The creation or need for new mechanisms for disputeprevention and resolution will also be discussed.