Personne : Leblanc, Suzanne
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Nom de famille
Leblanc
Prénom
Suzanne
Affiliation
Université Laval. École d'art
ISNI
ORCID
Identifiant Canadiana
ncf10140351
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Voici les éléments 1 - 2 sur 2
- PublicationAccès libreLe Vaisseau(Presses de l'Université Laval, 2020-10-23) Leblanc, SuzanneLe Vaisseau est une expérience de pensée prenant la forme d'un journal de bord dont les entrées sont séparées par de longues durées à l'échelle de l'Univers. L'expérience est relatée par ses protagonistes, un groupe d'individus à la fois humains et machines formant une entité, le Vaisseau, qui voyage dans l'expansion du Cosmos. Le trajet donne lieu à des réflexions d'ordre philosophique sur les rapports entre les humains, les machines et la Nature, sur l'humanité terrestre et sur la signification du trajet lui-même. L'ouvrage est le premier du volet Phosphore/Spéculation, qui veut soulever le débat autour de sujets émergents en utilisant des propositions volontairement provocantes. Il traite les situations à la limite du présent comme des formes de prévoyance civilisationnelles. Les ouvrages publiés dans ce volet s’inscrivent dans une perspective de résolution de problèmes critiques.
- PublicationRestriction temporaireInfraphysiques(Presses de l'Université Laval (PUL), 2023-02-22) Leblanc, Suzanne; St-Onge, AlexandreLe présent ouvrage juxtapose deux formes textuelles s'inscrivant, l'une, dans une manière philosophique et l'autre, dans une manière poétique. La première partie de l'ouvrage, intitulée « Pensées infradisciplinées » (Suzanne Leblanc), se situe à mi-chemin entre le manifeste artistique et le système philosophique. Elle se compose de quatre-vingt-dix propositions dont l'objectif est d'offrir un ensemble d'outils pour penser un ordre de connaissance propre à la création. La seconde partie de l'ouvrage, intitulée « L'Où tin tsé P0R Î aqukuà » (Alexandre StOnge), se compose de trois segments textuels générés par des opérations performatives. Ces dernières s'inscrivent dans un processus d'adaptation réciproque de langages humains et de codes machiniques afin de faire émerger une langue poétique hybride. L'une et l'autre partie se motivent depuis leurs extrémités réflexives et performatives, dans des registres qualifiés, en intitulé de l'ouvrage, d'infraphysiques – ceux d'esthétiques tournées vers l'imprédictibilité de la création humaine.