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Personne :
Rousseau, Michèle

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Nom de famille

Rousseau

Prénom

Michèle

Affiliation

Université Laval. École de nutrition

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ncf11935938

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • PublicationAccès libre
    Associations between dietary protein sources, plasma BCAA and short-chain acylcarnitine levels in adults
    (M D P I AG, 2019-01-15) Guénard, Frédéric; Garneau, Véronique; Allam-Ndoul, Bénédicte; Pérusse, Louis; Lemieux, Simone; Vohl, Marie-Claude; Rousseau, Michèle
    Elevated plasma branched-chain amino acids (BCAA) and C3 and C5 acylcarnitines (AC) levels observed in individuals with insulin resistance (IR) might be influenced by dietary protein intakes. This study explores the associations between dietary protein sources, plasma BCAA levels and C3 and C5 ACs in normal weight (NW) or overweight (OW) individuals with or without metabolic syndrome (MS). Data from 199 men and women aged 18–55 years with complete metabolite profile were analyzed. Associations between metabolic parameters, protein sources, plasma BCAA and AC levels were tested. OW/MS+ consumed significantly more animal protein (p = 0.0388) and had higher plasma BCAA levels (p < 0.0001) than OW/MS− or NW/MS− individuals. Plasma BCAA levels were not associated with BCAA intakes in the whole cohort, while there was a trend for an association between plasma BCAA levels and red meat or with animal protein in OW/MS+. These associations were of weak magnitude. In NW/MS− individuals, the protein sources associated with BCAA levels varied greatly with adjustment for confounders. Plasma C3 and C5 ACs were associated with plasma BCAA levels in the whole cohort (p < 0.0001) and in subgroups based on OW and MS status. These results suggest a modest association of meat or animal protein intakes and an association of C3 and C5 ACs with plasma BCAA levels, obesity and MS.
  • PublicationAccès libre
    Le rôle des métabolites dérivés de la diète sur la santé cardiométabolique : la contribution des acides aminés à chaîne ramifiée et des polyphénols
    (2020) Rousseau, Michèle; Vohl, Marie-Claude
    Le syndrome métabolique (SM), précurseur du diabète de type 2 et des maladies cardiovasculaires, est un fléau majeur alourdissant le système de santé dans les pays industrialisés. Ces maladies ont en commun le stress oxydatif, qui contribuerait à leur développement. De plus, leur progression peut être modulée par l’alimentation, qui est source d’aliments aux propriétés pro- ou antioxydantes. Les études longitudinales décrivent depuis longtemps la consommation de viande comme étant plutôt néfaste pour la santé, alors que celle de fruits y serait favorable. La viande est entre-autres la source alimentaire principale d’acides aminés à chaîne ramifiée (AACR), métabolites dont les niveaux plasmatiques seraient élevés chez les personnes résistantes à l’insuline ou présentant le SM. Les données de 197 individus d’adiposité variée et présentant ou non le SM de la cohorte INFOGENE ont été utilisées afin de vérifier si la consommation de protéines d’origine animale ou végétale ou celle de viande rouge et des autres principaux aliments source de protéines était associée aux niveaux plasmatiques d’AACR. La relation entre ces aliments et les sous-produits du catabolisme des AACR, les acylcarnitines (AC) C3 et C5, fut par la suite investiguée. Alors qu’une forte association entre le statut d’embonpoint et la présence de SM et les niveaux plasmatiques d’AACR ou d’ACs C3 et C5 a été observée, les protéines d’origine animale et la consommation de viande rouge ne présentaient globalement qu’une modeste association avec les niveaux plasmatiques d’AACR. Ainsi, ces résultats suggèrent que l’apport en ces aliments ne serait pas le principal contributeur à l’augmentation des niveaux plasmatiques des AACR et des ACs C3 et C5. De leur côté, plusieurs études chez l’animal mettent de l’avant le potentiel du bleuet dans l’amélioration de la santé cardiométabolique. Son contenu élevé en polyphénols serait en cause. Un essai randomisé, contrôlé et à double insu fut conduit chez 49 adultes assignés à la consommation journalière de 50 g de poudre de bleuets (PB) ou placebo (PP) pour une durée de huit semaines afin d’observer si cette supplémentation affectait positivement la tension artérielle, le profil lipidique ou le degré de résistance à l’insuline des participants. En comparant les données recueillies au début, au milieu et à la fin de l’intervention et entre les groupes PB et PP, aucune amélioration dans ces paramètres ne fut observée. Ces résultats laissent suggérer que la consommation en poudre de l’équivalent de 2,3 tasses de bleuets n’aurait pas d’effet, à prime abord, sur la santé cardiométabolique d’individus à risque de développer le SM. Les bénéfices rapportés chez l’animal demeurent donc à étudier davantage chez l’humain.