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Personne :
Petitclerc, Amélie

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Nom de famille

Petitclerc

Prénom

Amélie

Affiliation

Université Laval. École de psychologie

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Identifiant Canadiana

ncf10583742

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • PublicationAccès libre
    Mépris des règles chez les jeunes enfants : trajectoires de développement, facteurs de risque précoces et étiologie génétique-environnementale
    (2008) Petitclerc, Amélie; Boivin, Michel; Tremblay, Richard Ernest
    Dès la petite enfance, des comportements perturbateurs tels la désobéissance l'agression, le non-respect des biens d'autrui et les crises de colère sont fréquents chez un petit nombre d'enfants et constituent une source d'inquiétude importante pour leurs parents. Les connaissances sur le développement précoce de ces comportements sont cependant limitées par la rareté des études longitudinales et par la mesure de symptômes hétérogènes, sans égard à leur pertinence au plan développemental. Afin de pallier ces lacunes, cette thèse se centre sur le mépris des règles, une difficulté dans le processus de socialisation propre à la petite enfance qui se retrouve au coeur des troubles comportements perturbateurs. En s'appuyant sur les données de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec et de l'Étude des jumeaux nouveaunés du Québec, elle vise à examiner le cours du développement, les facteurs de risque et l'étiologie génétique et environnementale du mépris des règles pendant toute la petite enfance. Les résultats de la première étude démontrent que les traj ectoires de développement du mépris des règles sont relativement stables au cours de la petite enfance et que la poursuite d'une trajectoire élevée (4,3% de l'échantillon) est associée à des facteurs de risque identifiables précocement chez les nourrissons et leur famille: le jeune âge de la mère à sa première grossesse, le sexe masculin de l'enfant, des antécédents antisociaux et des symptômes dépressifs post-partum chez la mère. Les résultats de la deuxième étude indiquent que des facteurs génétiques stables contribuent à des niveaux constants de mépris des règles pendant toute la petite enfance, alors que les facteurs environnementaux rendent compte de différences individuelles essentiellement indépendantes d'un âge à l'autre. Ainsi, les facteurs de risque identifiés dans la première étude seraient vraisemblablement des indicateurs de risque génétique, tandis que d'autres facteurs plus ponctuels moduleraient le mépris des règles par le biais de l'environnement. VI. En alliant les perspectives clinique et développementale, cette thèse apporte des connaissances fondamentales sur les comportements des jeunes enfants face aux règles, fournit des outils pour le dépistage précoce de familles à risque et pose de nouveaux jalons à partir desquels élaborer les recherches futures.
  • PublicationAccès libre
    The developmental trajectories of peer victimization in middle to late childhood and the changing nature of their behavioral correlates
    (Detroit Merrill-Palmer School, 2010-07-01) Boivin, Michel; Petitclerc, Amélie; Feng, Bei.; Barker, Edward D.
    This study investigated the evolving relations between peer victimization and social/emotional difficulties in middle to late childhood. Peer assessments of peer victimization and social/emotional difficulties (aggressive behavior, social withdrawal, and emotional vulnerability) were collected over 4 years for 1,035 children attending Grades 3–6 and were analyzed via cross-lagged panels and trajectory analyses. All dimensions were highly stable and significantly related initially. Peer victimization became progressively less related to aggression and increasingly associated with withdrawal. Bidirectional contributions over 1-year periods were found between withdrawal and emotional vulnerability and victimization. Trajectory analyses revealed heterogeneity in peer victimization patterns, with a small group of children (4.5%) being extremely victimized and with another group (10%), less severely, but increasingly victimized over time. Compared to nonvictimized children, these children were generally more emotional and became less aggressive but more socially withdrawn over time. These small behavioral changes were not associated with decreases in victimization.