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Personne :
Mauriege, Pascale

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Nom de famille

Mauriege

Prénom

Pascale

Affiliation

Université Laval. Département de kinésiologie

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Identifiant Canadiana

ncf11860389

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 1 sur 1
  • PublicationRestreint
    Food group preferences and energy balance in moderately obese postmenopausal women subjected to brisk walking program
    (National Research Council Canada, 2017-03-19) Garnier, Sophie; Drapeau, Vicky; Mauriege, Pascale; Lemoine-Morel, Sophie; Tremblay, Angelo; Vallée, Karine; Blouin, Sandra; Auneau, Gérard
    L’objectif de l’étude était d’examiner les effets d’un programme de marche de 16 semaines sur les préférences alimentaires et l’équilibre énergétique de femmes caucasiennes, d’âge 60 ± 5 ans, sédentaires, ménopausées et modérément obèses (indice de masse corporelle, 29–35 kg/m2). 156 volontaires suivaient 3 sessions/semaine de 45 min de marche à 60 % de la fréquence cardiaque de réserve. L’apport énergétique total (AET) et les préférences alimentaires (journal alimentaire de 3 jours), la dépense énergétique totale (DET, journal d’activité physique de 3 jours), la condition physique (2 km-marche), des variables anthropométriques et la composition corporelle (bioimpédancemétrie) ont été mesurés avant et après la marche. Une analyse de variance à mesures répétées (temps) a été effectuée. La légère augmentation de la DET de 151 ± 24 kcal/jour (p < 0.0001) a entraîné une réduction de poids, de masse grasse, et du tour de taille (p < 0.0001). L’AET n’a pas changé malgré une légère diminution de l’apport glucidique et une faible augmentation de l’apport protéique (p < 0.05). L’analyse des journaux alimentaires a révélé une baisse de la consommation de fruits (p < 0.05), d’aliments sucrés et gras (p < 0.01), mais une augmentation de celle d’huiles (p < 0.0001) après la marche. Les femmes ayant perdu le plus de poids réduisaient davantage leur consommation de fruits, sucre, aliments sucrés et gras (p < 0.05). Les femmes dont la réduction de masse grasse était la plus importante diminuaient davantage leur consommation d’aliments gras (p < 0.05). En conclusion, bien que notre programme de marche ait modifié la consommation de certains groupes d’aliments, la perte de poids était principalement due à une réduction de DET.