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Personne :
Roy, Valérie

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Nom de famille

Roy

Prénom

Valérie

Affiliation

Université Laval. École de travail social et de criminologie

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Identifiant Canadiana

ncf10451752

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 3 sur 3
  • PublicationAccès libre
    La responsabilisation des hommes auteurs de violence conjugale : guide de pratique à l’attention des intervenantes et intervenants des organismes membres du réseau à cœur d’homme.
    (Université Laval, 2022-12-01) Roy, Valérie; Brodeur, Normand; Angele, Rebecca; Lapointe, Hélène; Tudeau, Matis
    La responsabilisation des auteurs de violence compte parmi les principes-clés des actions visant à contrer la violence conjugale. Elle est associée à un risque moins élevé de récidive chez les auteurs de violence qui participent à des programmes d'aide et elle en constitue un critère de succès. Toutefois, bien que l'intervention auprès des auteurs de violence conjugale doive « clairement viser à leur faire reconnaitre et assumer leur responsabilité face à leur violence » (ministère de la Santé et des Services sociaux, 1992, p. 15), cela ne va pas de soi. En effet, des personnes des milieux de pratique et de la recherche constatent depuis longtemps qu'ils ont tendance à blâmer les victimes, à rejeter leur responsabilité ou à attribuer la violence à des facteurs externes. En s'appuyant sur les savoirs d'expérience des intervenants et intervenantes des organismes du Réseau à coeur d'homme, ce guide entend : 1- Cerner les principales dimensions de la responsabilisation ; 2- Rendre compte d'interventions permettant de les travailler dans l'intervention clinique auprès des auteurs de violence conjugale ; 3- Examiner quelques défis liés au travail de responsabilisation dans des situations plus complexes.
  • PublicationAccès libre
    How do practitioners and program managers working with male perpetrators view IPV? : a Quebec study
    (Springer New York, 2019-11-29) Bousquet, Marc-Antoine; Roy, Valérie; Labarre, Michel; Sanhueza Morales, Tatiana Andrea; Brodeur, Normand
    To document the viewpoints on intimate partner violence (IPV) of Québec practitioners working with violent partners and of program managers of batterer intervention programs (BIPs). Based on Loseke’s (2003) theory of the construction of social problems, a qualitative study was carried out with 25 practitioners working with violent partners and with18 program managers of BIPs so as to explore their conceptions of IPV and their representations of perpetrators and victims. Study participants primarily defined IPV as a way of taking control, while nonetheless noting other motivations. They also insisted on the diversity of contexts of IPV and its numerous manifestations. For them, IPV was a complex, multifactorial problem, involving individual risk factors for the most part, though also including contextual and social ones. Not only did they not see a single type of IPV, but they also saw no single perpetrator or victim profile. They saw both perpetrators and victims as accountable for their choices, even though they posed some limitations on this general principle of accountability. Complexity and diversity seemed to characterize their conceptions of IPV and their representations of perpetrators and victims. Findings are discussed in the light of current debates about IPV, of implications for BIPs, and of contexts that may influence IPV conceptions.
  • PublicationAccès libre
    Violence conjugale en contexte de pandémie de COVID-19 et portrait des pratiques auprès des conjoints ayant des comportements violents
    (À cœur d'homme : réseau d'aide aux hommes pour une société sans violence, 2022-04-01) Roy, Valérie; Brodeur, Normand
    Comme d’autres situations de sinistre (Parkinson, 2019 ; Yoshihama et al., 2019), la pandémie de COVID-19 a entrainé des répercussions sur les victimes de violence conjugale (VC ; Moreira et Pinto da Costa, 2020). Les inquiétudes vis-à-vis des risques accrus de VC ont été soulevées dès ses débuts en mars 2020 (SOS Violence conjugale, 2020 ; Statistique Canada, 2020) et ravivées au cours de 2021 alors que, au Québec, 18 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint (Brault, 2021, 4 décembre ; Dussault, 2021, 5 novembre), soit près du double des années antérieures (Bureau du Coroner, 2020). Bien qu’il soit impossible d’associer cette hausse uniquement à la pandémie, on ne peut écarter l’hypothèse qu’elle y soit liée. De plus, elle illustre l’importance des services offerts aux victimes de violence conjugale et aux conjoints ayant des comportements violents (CCV) pour prévenir de tels événements. Par ailleurs, à l’instar d’autres situations de sinistre, la pandémie de COVID-19 a posé d’importants défis pour ces services qui ont dû s’adapter rapidement (Hébergement Femmes Canada, 2020 ; Peterman et al., 2020). Dans le cas des organismes qui interviennent auprès des CCV, qui offrent majoritairement des programmes d’intervention de groupe, les mesures sanitaires ont amené d’importants ajustements à leurs pratiques ainsi que l’expérimentation de nouvelles formes d’intervention. Dans ce contexte, à l’aide d’une subvention du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, la présente étude visait (1) à documenter la VC1 observée par le personnel des organismes membres du réseau à cœur d’homme (ACDH2 ) en contexte de pandémie de COVID-19 et (2) à rendre compte de l’évolution de leurs pratiques. Pour ce faire, l’équipe de recherche a effectué une recension des écrits et réalisé, entre novembre 2020 et novembre 2021, quatre activités de collecte de données. L’ensemble de la démarche s’est déroulé en collaboration étroite avec un comité de suivi auquel participaient, outre les deux chercheurs, la directrice d’un de ses organismes membres3 . Le présent rapport fait état des résultats de cette recherche. La première partie détaille la problématique de la VC dans le contexte de la pandémie de COVID-19, alors que la deuxième partie décrit la méthodologie utilisée pour les différentes activités de collecte de données. La troisième partie fait état des résultats, d’abord quant à l’évolution de la VC pendant la pandémie, puis quant à l’adaptation des organismes et de leurs pratiques. Dans la dernière partie, ces résultats sont mis en relation avec l’état des connaissances sur la VC dans les situations de sinistre, et plus particulièrement de la pandémie de COVID-19. Les limites de la recherche sont exposées et quelques pistes de recherche sont suggérées.