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Personne :
Leclerc, Jacinthe

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Nom de famille

Leclerc

Prénom

Jacinthe

Affiliation

Université Laval. Faculté de pharmacie

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ncf11909162

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 4 sur 4
  • PublicationAccès libre
    Impact d'un programme modifiant les habitudes de vie sur la fonction diastolique ventriculaire gauche dans le syndrome métabolique
    (2014) Leclerc, Jacinthe; Poirier, Paul
    Il est reconnu que les changements au niveau des habitudes de vie ont des impacts favorables sur la santé cardiovasculaire. La dysfonction diastolique ventriculaire gauche est d’ailleurs un problème cardiaque très répandu. La réversibilité de ce trouble cardiaque suite à une intervention non-pharmacologique a peu été étudiée. Dans le cadre de cette maîtrise, il a été observé que la dysfonction diastolique est réversible suite à un programme de modification des habitudes de vie d’une durée d’un an. Les déterminants, en début d’étude, qui caractérisaient les participants ayant amélioré leur fonction diastolique en cours d’intervention étaient une tolérance au glucose détériorée, une tension artérielle systolique à l’effort plus élevée ainsi qu’une meilleure performance lors de l’épreuve maximale d’effort. Les bénéfices significatifs gagnés en cours de programme au niveau des différents indices d’adiposité, de la résistance à l’insuline ainsi que de la tolérance à l’effort n’étaient pas reliés à l’amélioration de la dysfonction diastolique.
  • PublicationAccès libre
    Reporting rates of opioid-related adverse events since 1965 in Canada : a descriptive retrospective study
    (Cham : Springer International Publishing, 2021-09-16) Lavallée, Maude; Galli da Silveira, Carolina; Akinola, Samuel; Méthot, Julie; Piché, Marie-Eve; Bérard, Anick; Thibault, Magalie; Midiani Gonella, Jennifer; Escobar Gimenes, Fernanda Raphael; Leclerc, Jacinthe
    Background : Patients with chronic or acute/postoperative pain frequently use opioids. However, opioids may cause considerable adverse reactions (ARs), such as respiratory depression, which could be lethal. Unfortunately, only 5% of drug-related ARs (including those to opioids) are reported to health authorities. Therefore, little is known regarding the occurrence of opioid-related ARs at the population level. Objective : The aim of this study was to investigate how the rates of reported opioid-related ARs have changed in Canada since 1965. Methods : Our retrospective study examined trends of reported opioid-related ARs occurring in hospitalized and outpatients. Data on opioid-related ARs and mortality between 1965 and 2019 were obtained from the Canada Vigilance and Statistics Canada databases. Descriptive and Joinpoint regression analyses were performed. Results : Oxycodone and normethadone were the most and least involved opioid agents, respectively, among the 18,407 reported ARs. The highest rate of reported opioid ARs (3.8 per 100,000 person-years) was recorded in 2012, whereas the lowest was recorded in 1965 (0.1 per 100,000 person-years). Between 1965 and 2019, annual rates climbed by 4.2% (95% confidence interval [CI] 3.1–5.2), and many fluctuations were observed: 1965–1974: +22.3% (95% CI 12.0–33.6); 1974–2000: − 4.1% (95% CI − 5.3 to − 2.9); 2000–2008: +30.3% (95% CI 22.6–38.4); 2008–2014: +4.1% (95% CI − 1.5 to 10.1); 2014–2017: −26.0% (95% CI − 44.7 to − 0.9); and, finally, 2017–2019: +35.4% (95% CI 3.8–76.7). Conclusion : Reported opioid-related ARs have increased since 1965, although fluctuations were observed in recent decades. The absolute number of opioid-related ARs might be seriously underestimated. Future studies should look into how to close this gap.
  • PublicationRestreint
    Anticoagulants oraux directs
    (Montréal : Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, 2018-09-01) Leclerc, Jacinthe; Sanctuaire, Alexandre; Nadon, Nathalie; Méthot, Julie
    La warfarine (CoumadinMD) est commercialisée depuis plus de 60 ans au Canada. Les bénéfi ces de cet anticoagulant oral sur les thromboembolies sont reconnus. Depuis 2008, de nouveaux anticoagulants oraux, appelés anticoagulants oraux directs (AOD), sont commercialisés au pays : le dabigatran (PradaxaMD), le rivaroxaban (XareltoMD), l’apixaban (EliquisMD) et l’édoxaban (LixianaMD). Les patients souffrant de fibrillation auriculaire, de thrombose veineuse profonde ou d’embolie pulmonaire, ou encore ayant subi une arthroplastie totale de la hanche ou du genou, peuvent maintenant compter sur de nouvelles options de traitement pour une anticoagulation à moyen ou long terme. Comment les AOD se distinguent-ils de la warfarineȧ Cet article présente les mécanismes d’action, indications, contre-indications et éléments de surveillance associés à l’utilisation des AOD, ainsi que des exemples de situations pouvant survenir chez un patient traité par l’un ou l’autre de ces médicaments. Rappelons d’abord la physiologie de l’hémostase et la cascade de coagulation.
  • PublicationAccès libre
    Surveillance des consultations à l'urgence et des hospitalisations chez les utilisateurs de médicaments génériques et originaux en cardiologie, au Québec
    (2017) Leclerc, Jacinthe; Blais, Claudia; Poirier, Paul; Guénette, Line
    Les médicaments occupent une place de choix dans la prise en charge des maladies cardiovasculaires. Les médicaments génériques constituent l’alternative économique lorsque le brevet du médicament original expire. Les régimes d’assurance médicaments privilégient le remboursement des médicaments génériques lorsqu’ils sont disponibles, étant en moyenne trois fois plus économiques que l’original. Dans les dernières années, les professionnels de la santé et leurs patients ont soulevé des doutes quant à la sécurité (effets secondaires) et l’efficacité des médicaments génériques. Ceci suggère qu’il n’y ait pas que le prix qui diffère entre les génériques et les originaux correspondants. L’article 1 présente une revue de la littérature dont l’objectif est de comprendre les différences entre les médicaments génériques et originaux. Au-delà du prix, les médicaments génériques se distinguent de leurs équivalents originaux en ce qui concerne notamment 1) le nom commercial, 2) les ingrédients inactifs et, 3) le processus d’homologation. À cet effet, des normes gouvernementales canadiennes réglementent les standards de bioéquivalence des médicaments génériques. Pour être considérés bioéquivalents à un médicament original donné, certains paramètres pharmacocinétiques des versions génériques peuvent généralement varier tout au plus de 20 % par rapport au médicament original de référence. Bien que modestes, ces différences de biodisponibilité entre les médicaments originaux et leurs génériques sont documentées dans les monographies des produits génériques. Dans la littérature, il n’est pas clair si la bioéquivalence entre les médicaments génériques et originaux se traduit en équivalence clinique au niveau populationnel. Sur la base de cette hypothèse, nous avons évalué si les événements indésirables différeraient entre les utilisateurs des médicaments originaux et génériques, lorsque ces derniers étaient devenus disponibles sur le marché. Les articles 2 et 3 présentent des études dont l’objectif est d’évaluer l’impact de la commercialisation des versions génériques sur des événements indésirables (consultations à l’urgence ou hospitalisations de toutes causes), comparativement à leurs versions originales. Nous avons inclus tous les Québécois âgés de 66 ans et plus traités par des médicaments largement utilisés dans le domaine de l’hypertension artérielle, des cardiopathies ischémiques ou bien en insuffisance cardiaque : losartan, valsartan, candésartan et clopidogrel. Par une étude de séries chronologiques utilisant les données médico-administratives jumelées du Système intégré de surveillance des maladies chroniques du Québec, nous avons estimé les taux d’événements indésirables survenus pendant une période de trois ans entourant la commercialisation des premières versions génériques. Un total de 136 177 patients utilisant le losartan, le valsartan ou le candésartan et un total de 89 525 patients utilisant le clopidogrel sont inclus dans l’article 2 et 3, respectivement. Les taux d’événements indésirables étaient stables avant l’arrivée des versions génériques et sont demeurés inchangés après, dans toute la population. Par contre, si l’on regarde les taux propres aux utilisateurs des versions génériques seulement, les résultats révèlent une augmentation immédiate des événements indésirables pour les quatre médicaments étudiés. Les taux d’événements indésirables sont d’ailleurs constamment plus élevés chez les utilisateurs des versions génériques par rapport aux versions originales correspondantes. Lors de nombreuses analyses supplémentaires conduites par stratification selon certaines caractéristiques, il a été démontré que l’effet observé était similaire, tant chez les patients avec 3 à 4 comorbidités cardiovasculaires ou plus, comparativement avec leurs strates inférieures, ou chez les patients des différents niveaux de statut socio-économique ainsi que chez les hommes et les femmes (clopidogrel). Il était déjà connu que les médicaments génériques différaient de leurs équivalents originaux en termes de coûts. Ils peuvent également varier en ce qui concerne leur disponibilité dans le sang comparativement à la version originale. Il été observé que les résultats de santé associées à l’utilisation des médicaments génériques pourraient ne pas être tout à fait identiques aux résultats de santé chez les patients utilisant le médicament original. Cela pourrait être explicable par la variation de biodisponibilité entre les sortes de médicaments, mais aussi, du moins en partie, attribuables à d’autres facteurs qui n’ont pas été mesurés dans cette étude. La détection de ce signal de pharmacovigilance mérite une investigation clinique si possible, au-delà des bases de données médico-administratives, pour bien caractériser l’impact de la substitution aux médicaments génériques. Il est possible que les normes d’homologation des médicaments génériques, par Santé Canada, doivent être révisées si ces résultats sont confirmés dans d’autres juridictions ou autres systèmes de santé.