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Personne :
McCune, Frédéric

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Nom de famille

McCune

Prénom

Frédéric

Affiliation

Université Laval. Département de phytologie

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ORCID

Identifiant Canadiana

ncf11933202

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • PublicationAccès libre
    Impact de l'apiculture urbaine et du paysage urbain sur les abeilles sauvages
    (2018) McCune, Frédéric; Mazerolle, Marc J.; Fournier, Valérie
    Les abeilles sauvages contribuent significativement au service de pollinisation et connaissent présentement un déclin important. L’une des causes de ce déclin serait la compétition par l’abeille domestique. L’apiculture urbaine, une pratique assez récente, devient rapidement populaire. On ne connait pas de quelle façon la compétition entre les abeilles sauvages et domestiques s’exprime en milieu urbain, d’autant plus que ce milieu a déjà des impacts importants sur les abeilles, sauvages comme domestiques, notamment par la présence d’îlots de chaleur. Les objectifs de ce projet étaient de déterminer comment les paramètres environnementaux (abondance de l’abeille domestique, proportion des îlots de chaleur à l’intérieur de 1500 m, quantité et diversité des ressources florales) expliquent les communautés d’abeilles sauvages en milieu urbain. Nous avons émis les hypothèses : 1) que la compétition avec l’abeille domestique influence négativement les abeilles sauvages, 2) que les sites avec des ressources florales abondantes soutiennent des communautés d’abeilles sauvages plus diversifiées et abondantes et que ces ressources minimisent l’impact négatif de la compétition et 3) que l’urbanisation a des impacts variables sur les abeilles sauvages en fonction de leurs traits fonctionnels. Nous avons testé ces hypothèses à l’aide d’un jeu de données récoltées à Montréal en 2012 et 2013 sur 25 sites où les abeilles furent échantillonnées à l’aide de pièges-bols colorés. Nous avons étudié les patrons des communautés de 166 espèces d’abeilles sauvages ainsi que de l’abondance des espèces les plus communes après avoir tenu compte de la probabilité de détection. Nos analyses n’ont pas permis de détecter de compétition entre les abeilles sauvages et domestiques. Nos résultats indiquent cependant des effets variables des îlots de chaleur et positifs des ressources florales. Les villes permettent potentiellement la cohabitation harmonieuse entre l’apiculture urbaine et les abeilles sauvages à des densités modérées de ruches.
  • PublicationAccès libre
    Response of wild bee communities to beekeeping, urbanization, and flower availability
    (SpringerLink, 2019-11-09) McCune, Frédéric; Normandin-Leclerc, Étienne; Mazerolle, Marc J.; Fournier, Valérie
    Wild bees provide pollination services and are currently declining at the global scale. A potential cause for this decline is competitive interactions with domestic honey bees. Urban beekeeping, a fairly new activity, is rapidly gaining popularity. In contrast with agricultural and natural areas, the extent of competition between honey bees and wild bees in urban areas is unclear. The objectives of this study were to quantify the impact of honey bees, urbanization, and the availability of floral resources on wild bee communities. We hypothesized that honey bees exert negative impacts on wild bees, that floral resources favor wild bee communities and mitigate the negative impacts of competition with honey bees, and that the influence of heat islands, used as a proxy for urbanization, varies between wild bees with their functional traits (nesting behavior). We tested these hypotheses with a data set of 19,077 wild bee specimens collected using colored pan-traps at 25 urban sites in 2012 and 2013. We investigated community and population patterns after accounting for imperfect detection probability. We found no evidence of competition between wild and domesticated bees. Our analyses indicate mixed effects of urban heat islands across species and positive effects of floral resources. We conclude that cities can allow the coexistence of urban beekeeping and wild bees under moderate hive densities. However, it will remain crucial to further investigate the competitive interactions between wild and honey bees to determine the threshold of hive densities beyond which competition could occur.