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Personne :
Rochefort, Amélie

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Nom de famille

Rochefort

Prénom

Amélie

Affiliation

Université Laval. École de psychologie

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Identifiant Canadiana

ncf11908460

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • PublicationAccès libre
    Relation entre la durée du sommeil et la réponse au traitement de l'insomnie
    (2017) Rochefort, Amélie; Morin, Charles M.; Bélanger, Lynda
    Malgré l'efficacité reconnue de la thérapie cognitive-comportementale et de la pharmacothérapie pour traiter l'insomnie, les individus souffrant d'insomnie ne bénéficient pas tous de ces interventions. L'objectif principal du mémoire était d'examiner la relation possible entre la durée du sommeil, mesurée objectivement avant le traitement, et la réponse à une thérapie cognitive-comportementale pour l'insomnie (TCC-I), administrée seule ou combinée à la médication (TCC-I+Med). Un objectif secondaire était de documenter la présentation clinique des participants avec une durée normale ou courte du sommeil. Les données utilisées pour répondre à ces objectifs étaient issues d'une étude contrôlée randomisée, menée entre 2002 et 2005, dans la région de Québec. Pour les besoins du mémoire, 159 participants (Mâge = 50,31, ET = 10,14 ; 61,0 % femmes) ont été assignés à l'un des quatre groupes déterminés selon : (1) la durée de leur sommeil tel qu'enregistrée à la polysomnographie et (2) le traitement qu'ils avaient reçu. Ainsi, les groupes suivants ont été formés : les participants avec une durée normale du sommeil (c.-à-d., > 6h) ayant reçu une TCC-I (n = 54) ou une TCC-I+Med (n = 54) et ceux avec une courte durée du sommeil (c.-à-d., ≤ 6h) ayant reçu une TCC-I (n = 26) ou une TCC-I+Med (n = 25). Aucune différence significative entre le groupe avec une durée normale du sommeil et celui avec une courte durée du sommeil en ce qui concerne les variables sociodémographiques, psychologiques et la sévérité des symptômes d'insomnie n'a été observée avant le traitement. Indépendamment du traitement, les participants avec une courte durée du sommeil avant le traitement avaient eu une réduction de la durée des éveils en milieu de nuit et une augmentation de l'efficacité du sommeil significativement plus importantes que ceux avec une durée normale du sommeil. Cependant, ces mêmes participants étaient significativement plus insatisfaits de leur sommeil et rapportaient davantage de conséquences diurnes que ceux avec une durée normale du sommeil. Ces résultats suggèrent que la durée du sommeil recueillie avant le traitement n'influencerait pas la réponse thérapeutique en ce qui a trait aux variables de sommeil, mais elle influencerait les mesures de satisfaction du sommeil et du fonctionnement diurne. Compte tenu de ces résultats plutôt mitigés, d'autres études seront nécessaires pour clarifier le lien possible entre la durée objective du sommeil et la réponse thérapeutique. Des résultats plus concluants permettraient d'orienter les individus souffrant d'insomnie vers un traitement ciblé à leur présentation clinique.
  • PublicationAccès libre
    Familial aggregation of insomnia
    (American Sleep Disorders Association and Sleep Research Society, etc, 2017-02-01) Mérette, Chantal; Morin, Charles M.; Rochefort, Amélie; Savard, Josée; Dauvilliers, Yves A.; Jarrin, Denise C.; LeBlanc, Mélanie; Ivers, Hans
    Study Objectives: There is little information about familial aggregation of insomnia; however, this type of information is important to (1) improve our understanding of insomnia risk factors and (2) to design more effective treatment and prevention programs. This study aimed to investigate evidence of familial aggregation of insomnia among first-degree relatives of probands with and without insomnia. Methods: Cases (n = 134) and controls (n = 145) enrolled in a larger epidemiological study were solicited to invite their first-degree relatives and spouses to complete a standardized sleep/insomnia survey. In total, 371 first-degree relatives (Mage = 51.9 years, SD = 18.0; 34.3% male) and 138 spouses (Mage = 55.5 years, SD = 12.2; 68.1% male) completed the survey assessing the nature, severity, and frequency of sleep disturbances. The dependent variable was insomnia in first-degree relatives and spouses. Familial aggregation was claimed if the risk of insomnia was significantly higher in the exposed (relatives of cases) compared to the unexposed cohort (relatives of controls). The risk of insomnia was also compared between spouses in the exposed (spouses of cases) and unexposed cohort (spouses of controls). Results: The risk of insomnia in exposed and unexposed biological relatives was 18.6% and 10.4%, respectively, yielding a relative risk (RR) of 1.80 (p = .04) after controlling for age and sex. The risk of insomnia in exposed and unexposed spouses was 9.1% and 4.2%, respectively; however, corresponding RR of 2.13 (p = .28) did not differ significantly. Conclusions: Results demonstrate evidence of strong familial aggregation of insomnia. Additional research is warranted to further clarify and disentangle the relative contribution of genetic and environmental factors in insomnia.