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Personne :
Gauthier, Lysanne E.

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Fonction

Nom de famille

Gauthier

Prénom

Lysanne E.

Affiliation

Université Laval. École de psychologie

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ORCID

Identifiant Canadiana

ncf11855352

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • PublicationAccès libre
    La procrastination académique aux études supérieures : le rôle de l'étudiant et du directeur de recherche
    (2001) Gauthier, Lysanne E.; Guay, Frédéric; Sénécal, Caroline
    Des statistiques récentes du Ministère de l'Éducation du Québec révèlent que la durée des études aux cycles supérieurs a augmenté considérablement (Indicateurs de l'éducation, 2000). Un facteur pouvant contribuer au prolongement des études graduées est la procrastination académique (Muszynski & Akamatsu, 1991). Le but de cette étude est de vérifier un modèle de la procrastination académique d'étudiants à la maîtrise. Au total, 109 étudiants à la maîtrise et 57 directeurs de recherche ont participé à cette étude. Les résultats de l'analyse acheminatoire ont démontré que plus la disposition générale à la procrastination (trait de personnalité) est élevée et moins les croyances du directeur de recherche à l'égard de son étudiant sont positives, moins les évaluations réfléchies de l'étudiant sont positives. En retour, moins les évaluations réfléchies sont positives, plus l'étudiant démontre un déficit d'autorégulation académique. Finalement, plus le déficit d'autorégulation académique est important, plus l'étudiant a tendance à faire de la procrastination académique. Les résultats sont discutés à la lumière des évaluations réfléchies de l'étudiant (Jussim, Soffin, Brown, & Ley, 1992) et des croyances du directeur de recherche (Jussim, 1989).
  • PublicationAccès libre
    Les déterminants de la symptomatologie dépressive postnatale chez les mères : une analyse selon la perspective de la théorie de l'autodétermination
    (2008) Gauthier, Lysanne E.; Guay, Frédéric; Sénécal, Caroline
    La dépression postnatale touche environ 10 à 15 % des mères au cours de la première année suivant la naissance de l'enfant. Des répercussions importantes y sont associées, tant sur les plans de la vie personnelle et conjugale, que sur celui du développement de l'enfant. Depuis plusieurs années, les recherches dans ce domaine se sont attachées à l'identification des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux associés au développement et au maintien de cette problématique. Selon une récente recension des écrits effectuée par Robertson, Grâce, Wallington et Stewart (2004), les facteurs de risque psychosociaux sont d'importants prédicteurs des symptômes dépressifs postnataux. La présente thèse s'inscrit dans cette lignée d'études. À ce jour, aucune étude empirique ne permet de renseigner sur un élément fondamental lié au fait de devenir parents, celui de la motivation à avoir un enfant (c'est-à-dire, les raisons liées à cette décision). En s'inspirant de la perspective motivationnelle de la théorie de l'autodétermination (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2002), la présente thèse évalue le rôle de trois processus psychologiques dans l'adaptation des mères lors de la transition à la parentalité : l'autonomie parentale (motivation autodéterminée), le sentiment d'efficacité parentale et l'anxiété d'attachement envers le partenaire et sa propre mère. Par ailleurs, peu de recherches en périnatalité ont tenté de comprendre comment les facteurs psychosociaux sont liés aux symptômes dépressifs postnataux, rendant difficile l'estimation des relations de causalité entre les construits. La présente recherche vise à répondre à ces limites et comporte deux articles scientifiques. Le premier article vise la création et la validation d'une Échelle de motivation à avoir un enfant (ÉMAE). Les résultats démontrent que l'ÉMAE (19 énoncés) mesure cinq types de motivation à avoir un enfant (motivation intrinsèque, motivation extrinsèque de type identifiée, introjectée et externe, et amotivation), et que ses propriétés psychométriques sont adéquates. Le deuxième article de la thèse propose et évalue de manière longitudinale un modèle permettant de mieux comprendre les variables psychosociales impliquées dans le changement au point de vue de la symptomatologie dépressive lors de la transition à la parentalité (c'est-à-dire du 2e -3e trimestre de la grossesse jusqu'au 5e mois de vie de l'enfant). Au total, 331 femmes attendant un enfant ont participé à l'étude longitudinale. Selon les résultats des analyses par équations structurelles, il s'avère que les variables qui expliquent le mieux l'évolution des symptômes dépressifs ont trait à la perception d'autonomie parentale de la mère (c'est-à-dire, la motivation autodéterminée) ainsi qu'à la qualité des relations interpersonnelles (c'est-à-dire, l'attachement anxieux) envers le conjoint et sa propre mère. Les implications théoriques et pratiques des deux articles scientifiques sont discutées et des pistes de recherches futures sont proposées.