Personne : Belleau, Pascal
En cours de chargement...
Adresse électronique
Date de naissance
Projets de recherche
Structures organisationnelles
Fonction
Nom de famille
Belleau
Prénom
Pascal
Affiliation
Université Laval. Département de médecine moléculaire
ISNI
ORCID
Identifiant Canadiana
ncf13704498
person.page.name
2 Résultats
Résultats de recherche
Voici les éléments 1 - 2 sur 2
Publication Accès libre Reproducibility, bioinformatic analysis and power of the SAGE method to evaluate changes in transcriptome(Information Retrieval Limited, 2005-02-01) Dinel, Stéphanie; Calvo, Ezequiel Luis; Bolduc, Carl; Belleau, Pascal; Piedboeuf, Bruno; Boivin, André; St-Amand, Jonny; Yoshioka, Mayumi; Labrie, Fernand; Snyder, Eric E.The serial analysis of gene expression (SAGE) method is used to study global gene expression in cells or tissues in various experimental conditions. However, its reproducibility has not yet been definitively assessed. In this study, we have evaluated the reproducibility of the SAGE method and identified the factors that affect it. The determination coefficient (R2) for the reproducibility of SAGE is 0.96. However, there are some factors that can affect the reproducibility of SAGE, such as the replication of concatemers and ditags, the number of sequenced tags and double PCR amplification of ditags. Thus, corrections for these factors must be made to ensure the reproducibility and accuracy of SAGE results. A bioinformatic analysis of SAGE data is also presented in order to eliminate these artifacts. Finally, the current study shows that increasing the number of sequenced tags improves the power of the method to detect transcripts and their regulation by experimental conditions.Publication Accès libre Identification des gènes modifiant l'âge d'apparition du glaucome primaire à angle-ouvert dans une famille canadienne-française fondatrice.(2016) Belleau, Pascal; Raymond, Vincent; Shink, ÉricLe glaucome est un groupe hétérogène de maladies qui sont caractérisées par l'apoptose des cellules ganglionnaires de la rétine et la dégénérescence progressive du nerf optique. Il s’agit de la première cause de cécité irréversible, qui touche environ 60 millions de personnes dans le monde. Sa forme la plus commune est le glaucome à angle ouvert (GAO), un trouble polygénique causé principalement par une prédisposition génétique, en interaction avec d'autres facteurs de risque tels que l'âge et la pression intraoculaire élevée (PIO). Le GAO est une maladie génétique complexe, bien que certaines formes sévères sont autosomiques dominantes. Dix-sept loci ont été liés à la maladie et acceptés par la « Human Genome Organisation » (HUGO) et cinq gènes ont été identifiés à ces loci (MYOC, OPTN, WDR36, NTF4, ASB10). Récemment, des études d’association sur l’ensemble du génome ont identifié plus de 20 facteurs de risque fréquents, avec des effets relativement faibles. Depuis plus de 50 ans, notre équipe étudie 749 membres de la grande famille canadienne-française CA où la mutation MYOCK423E cause une forme autosomale dominante de GAO dont l’âge de début est fortement variable. Premièrement, il a été montré que cette variabilité de l’âge de début de l'hypertension intraoculaire possède une importante composante génétique causée par au moins un gène modificateur. Ce modificateur interagit avec la mutation primaire et altère la sévérité du glaucome chez les porteurs de MYOCK423E. Un gène modificateur candidat WDR36 a été génotypé dans 2 grandes familles CA et BV. Les porteurs de variations non-synonymes de WDR36 ainsi que de MYOCK423E de la famille CA ont montré une tendance à développer la maladie plus jeune. Un outil de forage de données a été développé pour représenter des informations connues relatives à la maladie et faciliter la priorisation des gènes candidats. Cet outil a été appliqué avec succès à la dépression bipolaire et au glaucome. La suite du projet consiste à finaliser un balayage de génome sur la famille CA et à séquencer les loci afin d’identifier les variations modificatrices du glaucome. Éventuellement, ces variations permettront d’identifier les individus dont le glaucome risque d’être plus agressif.