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Personne :
Laviolette, Valérie

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Laviolette

Prénom

Valérie

Affiliation

École de psychologie, Université Laval

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ncf11909935

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Résultats de recherche

Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • PublicationRestreint
    Depression in the first year after traumatic brain injury
    (Neurotrauma Society, 2018-07-15) Laviolette, Valérie; Ouellet, Marie-Christine; Roy, Joanne.; Turgeon-Fournier, Alexis; Moore, Lynne; Savard, Josée; Swaine, Bonnie; Beaulieu-Bonneau, Simon.; Sirois, Marie-Josée; Giguère, Myriam
    The aims of this study were to document the frequency of major and minor depressive episodes in the first year after traumatic brain injury (TBI), taking into account TBI severity and pre-morbid history of major depression, and to describe trajectories of depressive episodes. Participants were 227 adults who were hospitalized post-TBI (76% male; mean age = 41 years; 50% mild, 33% moderate, and 17% severe TBI). Major and minor depressive episodes were assessed with the Mini International Neuropsychiatric Interview at three time points (4, 8, and 12 months after TBI). Overall, 29% of participants had a major depressive episode in at least one of the three assessments, with fairly stable rates across assessments. Participants with mild TBI were more likely than those with moderate/severe TBI to be diagnosed with major depression, as were individuals with a positive pre-morbid history of depression compared to those without such history. In addition, 13% of participants had a minor depressive episode in at least one of the three assessments. Rates of minor depression significantly decreased from 4 to 8–12 months post-injury. Results also revealed a wide variety of trajectories of depressive episodes across assessments. Of note, 52% of major depression cases still fulfilled diagnostic criteria 4 months later, whereas 38% of minor depression cases deteriorated to major depression at the following assessment. These findings suggest that depression is highly prevalent after TBI, and monitoring of patients with subthreshold depressive symptoms is warranted in order to prevent the development of full-blown major depressive episodes.
  • PublicationAccès libre
    Nature, évolution et facteurs de risque de l'anxiété durant la première année suivant la survenue d'un traumatisme cranio-cérébral
    (2017) Laviolette, Valérie; Ouellet, Marie-Christine; Provencher, Martin D.
    Les troubles anxieux sont fréquents à la suite d’un traumatisme cranio-cérébral (TCC). Leur prévalence peut atteindre les 44 % durant la première année post-TCC et des études ont montré que cette anxiété a un impact fonctionnel chez les individus qui en souffrent. Cependant, peu d’études se sont intéressées à ce sujet jusqu’à maintenant. Les objectifs de la thèse sont de : décrire la nature, la fréquence et l’évolution des troubles liés à l’anxiété (c.-à-d. cheminements non-anxieux, anxieux précoce et anxieux tardif) sur la première année post-TCC avec un échantillon représentant un large spectre de sévérité du TCC (Article 1) et déterminer des facteurs de risque, présents en pré-TCC et au moment du TCC, de ces cheminements (Article 2). Deux-cent-dix participants (âge moyen 41.3 ans ± 15.3; 75.2 % hommes) sont recrutés dans un centre de traumatologie à la suite de leur hospitalisation pour un TCC (51 % TCC léger, 31 % TCC modéré, 18 % TCC sévère). Ils répondent à des questions sociodémographiques et participent à une entrevue psycho-diagnostique à 4, 8 et 12 mois post-TCC (le pré-TCC est évalué à leur première entrevue). Des données reliées au TCC sont recueillies dans leurs dossiers médicaux. Dans l’article 1, des analyses descriptives montrent que le tiers des participants souffre d’au moins un trouble lié à l’anxiété durant la première année post-TCC et que le cinquième a vécu un de ces troubles en pré-TCC. Les troubles fréquents sont le trouble anxio-dépressif, le trouble d’anxiété généralisée, l’état de stress post-traumatique et le trouble panique avec ou sans agoraphobie, et du côté des symptômes anxieux, ce sont la présence d’inquiétudes et avoir vécu un évènement extrêmement traumatique. Un test d’équations d’estimation généralisées montre que la présence de troubles liés à l’anxiété est stable dans le temps. Par contre, des analyses descriptives identifient 16 cheminements. Ces cheminements ont été regroupés en trois : 75 % de l’échantillon empruntent un cheminement non-anxieux, 15 % empruntent un cheminement précoce (c.-à-d. présence d’au moins un trouble lié à l’anxiété à l’évaluation du 4 mois) et 10 % empruntent un cheminement tardif (c.-à-d. absence d’un diagnostic de trouble lié à l’anxiété à l’évaluation du 4 mois et présence d’un de ces troubles à l’évaluation du 8 et/ou 12 mois). Dans l’article 2, une analyse de partition récursive identifie que la variable qui classe le mieux les participants selon leur cheminement est la présence d’au moins un trouble lié à l’anxiété en pré-TCC; avoir vécu un trouble lié l’anxiété en pré-TCC augmente le risque d’en souffrir en post-TCC et favorise le cheminement précoce (selon le test d’égalité des proportions). Chez les participants qui n’ont pas vécu de trouble lié à l’anxiété en pré-TCC, la variable qui les classe le mieux est le nombre d’années de scolarité complétées; avoir complété 10.5 ans de scolarité et moins augmente le risque de souffrir d’anxiété en post-TCC et favorise particulièrement le cheminement tardif. Chez les participants qui n’ont pas vécu de trouble lié à l’anxiété en pré-TCC et qui ont plus de 10.5 ans de scolarité complétés, la variable qui les classe le mieux est le sexe; être de sexe féminin augmente le risque de souffrir d’anxiété en post-TCC et favorise le cheminement tardif. Chez les participants qui n’ont pas vécu de trouble lié à l’anxiété en pré-TCC, qui ont plus de 10.5 ans de scolarité complétés et qui sont de sexe masculin, la variable qui les classe le mieux est la sévérité du TCC; avoir un TCC léger augmente le risque de souffrir d’anxiété en post-TCC et favorise le cheminement précoce. Ces résultats suggèrent que l’anxiété est fréquente en post-TCC, qu’elle est de nature différente d’un individu à l’autre, qu’elle emprunte des chemins différents et que des facteurs de risque à ces cheminements peuvent être identifiés dès le moment du TCC. Ces résultats donnent des pistes de traitements, permettent d’identifier des individus à risque et soulignent l’importance d’évaluer l’anxiété régulièrement durant la première année. Des études futures pourraient permettre de découvrir les mécanismes sous-jacents à ces facteurs de risque et d’ainsi mieux intervenir.