Personne : Gagnon-Grégoire, Catherine
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Adresse électronique
Date de naissance
Projets de recherche
Structures organisationnelles
Fonction
Nom de famille
Gagnon-Grégoire
Prénom
Catherine
Affiliation
École de service social, Université Laval
ISNI
ORCID
Identifiant Canadiana
ncf11876379
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Résultats de recherche
Voici les éléments 1 - 2 sur 2
- PublicationAccès libreL'intégration au travail des personnes ayant un trouble mental : ce qu'en pensent les principaux concernés(2014) Gagnon-Grégoire, Catherine; St-Onge, Myreille.Les personnes ayant un trouble mental sont reconnues à risque d’exclusion du marché du travail (MESS, 2008) et elles présentent des taux alarmants de non-emploi : les plus élevés parmi tous les groupes ayant des incapacités (NAMI, 2011). Objectif : Mieux comprendre l’intégration au travail des personnes ayant un trouble mental qui ont recours à l’organisme ÉquiTravail. Méthodologie : Cette étude qualitative est basée sur des entrevues individuelles auprès de sept travailleurs ayant un trouble mental. Un informateur-clef d’ÉquiTravail a aussi été rencontré. Le cadre conceptuel est celui des forces de Rapp et Goscha (2012). Résultats : Cinq thèmes émergent de l’analyse : les motivations à travailler, les éléments influençant l’obtention d’un emploi, ceux influençant le maintien en emploi, les services d’intégration en emploi et enfin, le fonctionnement social et l’emploi. Les propos de l’informateur-clef complètent et appuient la plupart des résultats.
- PublicationAccès libreLe travail des baluchonneuses accompagnant une personne attente d’Alzheimer : une responsabilité morale?(École de service social, Université Laval, 2014-06-27) Gagnon-Grégoire, Catherine; Éthier, Sophie; Dupont, JanineLes baluchonneuses partagent le quotidien de personnes atteintes de démence de type Alzheimer pour une durée de 4 à 14 jours en l’absence de l’aidant familial. Cet article présente une étude visant à mieux comprendre leur travail dans la perspective d’un modèle théorique sur la responsabilité morale. Les données ont été recueillies auprès de 20 baluchonneuses à l’aide d’entrevues face à face, téléphoniques et de groupe. Les résultats font ressortir qu’à travers les fondements derrière leur choix de devenir baluchonneuses – l’actualisation de leur responsabilité, l’évolution de la réponse à l’appel de la responsabilité, la singularisation de la responsabilité, la transformation de leur relation avec l’aidé, la variation de la relation entretenue avec les aidants, leur implication dans la relation aidant-aidé et la gestion de la médication et des soins médicaux –, les baluchonneuses assument une responsabilité morale en partie différente, mais néanmoins très semblable, à celle des aidants familiaux.